Les murailles de Soléandre ne sont jamais assez grandes. C'est une calamité depuis des ères, et elle est toujours vraie. Alors, pour éviter de s'entasser dans immeubles miteux, les nouveaux arrivants à Soléandre batissent leur maison à l'extérieur, où ils finissent par former de véritables petits villages, presque autonomes.
La population ici est encore plus diverse qu'à l'intérieur de la ville, dans le brassage est intense. Bien que la plupart des faubourgs s'organisent par race, toutes finissent par se cotoyer, commercer et échanger ensemble, s'unir et se désunir. Des ateliers sont installés, pour profiter de la main d'oeuvre abondante, et des talents encore inconnus des principaux clans de la Cité.
Mais la plupart des habitants des faubourgs sont des paysans, qui exploitent la terre pour nourrir la ville la plus populeuse du Monde Sans Nom.
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