Les Vocations/Classes des persos

Les Prêtresses d'Armélia
Peu nombreuses de nos jours, les prêtresses de la Déesse Mère parcourent le monde afin de prêcher les préceptes de la Déesse, de faire la quête de GVO pour la reconstruction et l’entretien du Grand Temple de Soléandre et pour se nourrir durant leur voyage à travers le monde.
Leur dévouement pour les autres a fait qu'elles bénéficient de la faveur divine. À croire qu'étant enfant la déesse mère se serait penchée sur elles, pour leur faire un tel Don. Elles connaissent toutes sortes de prières que la Déesse exaucent, que ce soient des guérisons, des châtiments pour contrer ou dérouter les ennemis ou des bénédictions pouvant sauver des compagnons d'infortunes.
La paix, la vie, la nature et l’harmonie sont les pierres angulaires du mode de pensée de ses personnes. Elles ont appris, grâce à leur exploration à travers le monde, l’art de la construction, l’art de la négociation et du troc.

Maître d'armes


Les Maîtres d’Armes sont des chevaliers mais s’en distinguent par leur habillement, leurs armements, leurs connaissances guerrières et leur discipline. En effet, ces chevaliers d’élite sont recrutés dès leur plus jeune âge. Ils entrent dans des écoles où le combat est élevé au rang d’art afin de devenir des «Maîtres d‘Armes». Ces écoles sont le symbole de l’apprentissage de la bravoure par le combat. Cette éducation militaire fait d’eux les meilleurs stratèges de notre « Terre sans nom ». Ils conduisent des commanderies, des corps d’élite d’une grande renom qui mènent d’âpres guerres. Ils sont des experts dans les coups de main, dans les escortes, et dans les embuscades. Ils ont développé au fil des générations de « Maîtres d’arme » de larges connaissances militaires aussi bien offensives que défensives

Ils dépensent pécunes sans compter et sont de très mauvais négociants. Ils éprouvent en effet un dédain envers les marchandages et espèrent la gloire non pas en commerçant, mais à la pointe de leur épée en accomplissant exploits et prouesses. Étant soldat, ils ne s’attachent pas aux travaux de la terre non plus, et laissent ce labeur aux cerfs souvent allant jusqu‘à leur ruine.

Ils sont au service d’un seigneur ou d’une dame, le protecteur qui subvient à leur besoins. Le « Maître d’arme » est lié par des échanges de service et d’obligations envers ces derniers, et l’on comprend ainsi pourquoi le sens de la loyauté leur parait essentiel. L’idéal des « Maîtres d’armes » se résumerait en un accord de loyauté absolue envers des croyances et des engagements auxquels toute la vie d’un chevalier est soumise.

Maître des Brasseurs
Chaque royaume, chaque empire, chaque cité possède son lot de souffrances, de misères, de malheurs et autres méfaits de la vie quotidienne. Chaque royaume, chaque empire, chaque cité possède un grand nombre de communautés ayant besoin de festoyer, d'exprimer sa joie, d'être ivre de bonheur... ou ivre mort tout simplement. C'est ainsi qu'est apparu dans ces empires, dans ces royaumes, dans le monde sans nom tout entier des seigneurs qui furent appelés Maitres Brasseurs

Les Maîtres Brasseurs sont des seigneurs/nobles/marchands ayant décidé de se dédier à l'agriculture, afin de produire des alcools et de les vendre, afin de satisfaire les nécessités, de faire oublier leurs malheurs aux cœurs désespérés, ou bien encore d'approvisionner quelques soulards nains... Possédant bien souvent une vaste exploitation agricole où ils y cultivent le houblon et l'orge, ingrédients nécessaires à la conception d'une bière digne de ce nom, et la plupart du temps, ils sont également à la tête d'une taverne. Ceux-ci appartiennent bien souvent au peuple nain, et ils sont respectés par leurs confrères à qui ils apportent joie et bonne humeur, fournissent la boisson qu'ils aiment plus que tout au monde et l'abri qui leur est le plus cher chaque nuit. Ils sont considérés au même niveau que les grands généraux qui apportent la gloire à une contrée car ils apportent non pas la gloire mais la joie à ce peuple et sont très aimés dans leur régions respectifs

Maître des Cultes
Chaque royaume, chaque peuple a sa religion. Bien rares sont les personnes qui peuvent vivre sans croire, aussi chacun des dieux de la multitude est assuré d’avoir un fidèle. Cependant, certaines religions ont prises, pour des raisons et pour d’autres, une très grande expansion, devenant la religion d’un empire, d’une race, d’un pays ou d’un état. Ces grandes religions, comme on les appelle, se sont élevées comme de grandes puissances territoriales, politiques et même militaires. Il va de soi que, rendu à un fort degré d’expansion, les divers courants religieux se sont dotés d’un pouvoir exécutif très centralisé dans le but d’assurer la cohésion de la puissance religieuse. Ainsi, des nobles, des érudits et des gens sans terres devinrent de puissants seigneurs, régnant sur des milliers d’âmes, sans frontières terrestres, et pouvant même influer sur les décisions des rois et des empereurs, s’ils n’étaient pas souverains eux-mêmes. On appelait ces chefs religieux grands prêtres, souverains pontifes, chamans, guides des âmes, mais ils étaient universellement reconnus comme étant les Maîtres des cultes. Ainsi, plusieurs religions, telles celles d’Armélia, d’Arbros, du Dieu Soleil et d’une multitude d’autres divinités, devinrent de puissantes fédérations.

À la tête de ces institutions religieuses, les maîtres des cultes prospéraient. Habiles politiciens, ils étaient des spécialistes des intrigues royales, et ils ne cessaient de comploter contre les souverains qui leur déplaisaient. Soutenus par une brigade d’assassins, d’ordres religieux et par les ambitions de certains seigneurs, ils étaient presque intouchables. Bien installés sur leurs divins trônes, ils amassaient, à l’aide de taxes religieuses et mensonge des trésors gigantesques, à l’aide desquels ils s’attiraient les faveurs des puissants, pour parfois ensuite les jeter à bas. Comme religion et magie vont souvent de paire, les maîtres des cultes était versés dans l’art des arcanes, et était donc par le fait même des mages à la force redoutable, autre raison de la craintes qu’ils inspiraient.

Aujourd’hui encore, les maîtres des cultes prospèrent et, assis souverainement sur leurs trônes sacrés, ils dirigent d’une main de fer le monde qui les entoure.

Maîtres des Loups
Les maîtres des loups sont des êtres sauvages et attachés à leurs clans isolés, passant le plus clair de leur temps à diriger les meutes qui répondent positivement à leur aura. Ils arpentent forêts et plaines et apprennent à se déplacer aussi rapidement et avec autant d'endurance que leurs serviteurs. Ils diffèrent des druides dans le sens où ils ne cherchent pas à enchanter les arbres ni à faire fructifier le travail de la nature, mais ils sont l'un de ses défenseurs, dans l'expression de sa force brute. Ce ne sont pas non plus des chamans, dans la mesure où ils ne communiquent pas avec l'esprit des morts, mais bel et bien des animaux vivants. Chouettes, éperviers, aigles, loups et ours sont autant de créatures qu'ils peuvent contrôler et par lesquels ils peuvent voir les mouvements de leurs amis ou de leurs ennemis, mais ce ne sont en aucun cas des lanceurs de sorts.

Le reste de leur temps est passé à dormir, à entretenir des villages sommaires cachés dans des clairières, ou à chasser au sein de leur meute. Ils sont autosuffisants en tous. Ce ne sont pas des barbares sans connaissance. Le moindre cours d'eau est exploité pour faire tourner de minuscules forges, le moindre gisement de métal est connu de leurs clans, la moindre pierrière.

Leurs installations se construisent très facilement, de manière à pouvoir rapidement changer d'endroit en cas de découverte d'un de ces campement. De temps en temps, leurs communautés se rassemblent autour de mégalithes, dressés on ne sait comment au milieu des forêts.


Personne ne connaît véritablement les plans des maîtres des loups. Un jour ennemis, un jour amis, ils sont de nature loyale, mais il est difficile de savoir vers qui se tourne leur loyauté. Une chose est certaine en tout cas, ce sont de farouches partisans de leur indépendance.

Maitre des Ombres
Cela remonte à une époque très ancienne où la rage détruisait et reconstruisait le monde, l'Anarchie, les Guerres, des Seigneurs morts, déchiquetés, mutilés,... Et un jour, alors que certains Seigneurs vivaient retranchés dans des contrées lointaines en paix, les destructeurs arrivèrent aux portes de ce havre de paix, ils ne laissèrent rien, seulement quelques villageois apeurés, choqués, tétanisés. Un Seigneur du Haut de sa Forteresse voyant alors ce monde détruit, se reclus dans son château et se laissa dépérir implorant les Dieux. Et là, une entité, ... une Ombre s'approcha de lui, il pouvait à peine reconnaître le visage de sa femme disparue, tous ces morts... C'est alors qu'elle lui proposa un pacte avec la mort, un pacte avec les ombres. Tout ceci fut indiqué dans un livre qui  circule dans des mains de Seigneurs l'utilisant à bon ou mauvais escient. Les Ombres sont tellement nombreuses...

Les Maîtres des Ombres sont de très anciens Mages, qui ont mis leurs pouvoirs à la disposition du monde de l'Ombre. Oui, il est facile de combattre lorsque les ombres vous répondent, et agissent sous vos Ordres. Les Ombres servent de boucliers à leur invocateurs, ou de diversions. Les Maîtres des ombres sont des sorciers puissants, leurs sorts demandent beaucoup d'énergie demandant à ceux-ci d'emmagasiner des sources de mana.

Ils utilisent leurs ombres pour parcourir de grandes distances avec facilité et savent protéger leurs terres avec des sorts de protection étranges et méconnu. Ce ne sont pas de grands meneur d'homme ou stratège de guerre, car leur principale arme est une magie méconnu qui peut aspirer à la méfiance vis à vis de celui qui l'utilise.

Ménestrels
« Oyez bonnes gens, oyez gentes Dames ! Nous venons vous conter les histoires de notre monde. Que la nuit laisse place aux festivités ! Rejoignez nous dans l’univers des Mythes et Légendes ! »

C’est par ces mots qu’ils vous accueillent. Qui sont-ils ? Des saltimbanques ? Des marchands ? Non messires et dames. Ils sont ceux qui perpétuent l’imaginaire et la création dans notre monde.

Ils sont les Ménestrels. Ces bardes férus de connaissances, d’histoires aux combats épiques, vous enseignent à travers les chansons et les joies des festivités, ce que fut autrefois notre Monde.

Ce n’est qu’en devenant l’un d’entre eux qu’on apprend vraiment à les connaître. Ils sont de toutes espèces. Nains, Elfes, Humains qu’importe ! Ils savent vous enchanter par leurs récits. Ils aiment beaucoup la magie. Cela rajoute un effet de réalisme et d’envoûtement qui vous transporte lors de leurs spectacles folkloriques. Maîtres de la beauté magique, de l’illusion, ils vous promettront un spectacle inoubliable.

Ils peuvent se rassembler en troupes de musiciens, gens de spectacles… Ces troupes atteignent les cinquante individus voire beaucoup plus.
Le son de leurs instruments de musiques variés les précède dans le village ou la cité où ils arrivent. Ils aiment toutes les sortes d’Art. Leurs spectacles se déroulent principalement la nuit et pendant les fêtes.

Leur mode de vie est le nomadisme. Ils officient très rarement pour une seule ville et se déplacent constamment de cité en cité, de village en village. Il est indéniable qu’ils ont vu le monde. On pourrait penser qu’ils sont vraiment riches mais ces artistes dépensent sans compter pour assurer des spectacles dignes d’entrer dans la Légende. De plus, les carrioles, les artistes et le matériel ont un prix.

Au cours de cette existence de nomadisme, les Ménestrels apprennent bien des choses. Par exemple monter rapidement un bon campement défensif sans pour autant friser la citadelle imprenable, est une de leurs facultés remarquables. Par cette existence d’aventures et d’imprévus, les Ménestrels ont appris à vivre en mangeant le strict nécessaire. La dureté du voyage fait parfois que les vivres doivent être rationnées.

Pourtant ils savent chasser, vivre de cueillette et se déplacer avec une très grande vitesse quand c’est utile. Les vols, et les embuscades sont fréquents sur ces artistes ambulants.

De ces êtres, on ne retient vraiment que ces gens qui vous émerveillent par des récits inconnus provenant de cultures étrangères, des spectacles aux lueurs des flammes dansantes…

Mais ils sont bien plus que ça. De par leurs chants, récits et légendes épiques et glorieuses, les Ménestrels sont les Gardiens des Royaumes Oubliés, les Gardiens de ces ères où il se déroula des récits épiques aux mythes millénaires. Ces Royaumes, aujourd'hui disparus, en leur temps furent dignes d'entrer dans la légende.

Métallurgiste
Les métallurgistes ont une seule et unique passion : forger LA meilleur arme. Les métallurgistes sont de grands ingénieur industriels et de bon géologues qui forgent sans arrêt des armes de plus en plus résistantes et de moins en moins corrodantes. Ils ont découvert une technique afin que le fer ne rouille plus : ils réalisent un mélange de fer avec d’autres métaux non corrosifs afin de former un alliage inoxydable. Les rois qui possédaient des métallurgistes avaient un grand avantage sur leur adversaire ayant des armes de meilleures qualités.

Les métallurgistes sont assez riches car ils vendent des armes de très haute qualité à un prix, souvent exorbitant. Lorsqu'ils ne forgent pas ils étudies les métaux et leur propriété ou tout ouvrage sur le sujet. Ils cherchent toujours de nouvelles terres pour trouver de meilleurs gisement.

Nécromancien

Oligarque
Ayant une forte attirance pour le luxe et le pouvoir, les oligarques sont des seigneurs dont la seule occupation est d'accroître leur influence par les richesses qu'ils ont amassées, l'économie étant la source de leur puissance. Etre un oligarque ne peut s'apprendre qu'au prix d'une éducation stricte dès la naissance des règles de courtoisie et de politesse de la gestion d'un royaume, d'une parfaite connaissance des facteurs influençant l'économie, d'une culture très importante due à un apprentissage rigoureux des mathématiques, de la physique, des lettres, de la philosophie, de l'histoire de ce monde sans nom; et bien sur d'une initiation poussée en matière de religion, et évidemment en magie. Les oligarques sont des intellectuels. A l'origine, cette caste a été formée par un petit groupe de comtes vampires visant à montrer leur supériorité sur les autres êtres vivants par leur incommensurable richesse et de mettre en commun leur pouvoirs et influences respectifs afin d'en faire profiter à ce groupe. Mais au fur et à mesure des siècles, des seigneurs nains et humains dont la richesse était tout aussi grande voulurent rejoindre ce groupe. Aujourd'hui il est composé de riches seigneurs sans distinction de race et étend son influence de plus en plus loin. Cependant cette caste est très renfermée et il est difficile de pouvoir intégrer ce cercle de richesse et de pouvoir concentrée. Il est toujours possible d'en apercevoir dans leurs demeures, entourés de leurs cours de fidèles seigneurs guerriers ou magiques qu'ils visent à utiliser, car comme on l'a dit auparavant, ils sont toujours en quête de plus de pouvoir et cherchent toujours à étendre plus leur influence sur le monde qui les entoure.


Ceux-ci ont depuis bien longtemps abandonné l'idée de faire la guerre. En effet les oligarques ont choisi d'obtenir le pouvoir par la voie de l'économie, non par la voie de la guerre, et ne comprennent en rien l'intérêt de perdre des vies humaines et de se battre pour ensuite devoir payer pour reconstruire les dégâts occasionnés. Ceux-ci sont de bons diplomates et préfèrent de loin éviter l'affrontement ou utiliser les seigneurs guerriers qu'ils ont réussi à contrôler par le biais d'aides économiques ou de pots de vin afin de se battre à leur place. Cependant ils n'ont pas pour autant oublié les enseignements qui leur ont été apportés durant leur jeunesse et l'expérience de leurs mentors dans cette organisation, et ils ont instauré un système de conscription leur permettant de maintenir un nombre acceptable de soldats, insuffisants pour pouvoir rivaliser avec un vrai seigneur de guerre, mais capable de pouvoir résister aux attaques des petits seigneurs jaloux de leur immense richesse
Les oligarques ont un excellent goût et ont un excellent niveau en architecture. En effet, ils sont capables de construire d'immenses bâtiments somptueux réputés dans le monde entier. Cependant leur goût du luxe rend ceux-ci extrêmement coûteux, ce qui rend difficiles leur entretien


Les oligarques sont de bons fermiers. Issus de la tradition des seigneurs féodaux qui sont leurs ancêtres, les famines successives qui ont frappé leurs terres au cours des siècles, ils ont développé leur agriculture afin que plus jamais la faim ne frappe leurs empires et que toujours leurs serfs puissent les servir

Ils ont respectés les codes de leurs ancêtres afin de développer la religion sur leurs terres, à une échelle suffisamment importe pour que l'on puisse parler de religion, mais pas de quoi faire de leurs empires de grandes puissances magiques. Ils ont tout de même de bons liens avec les grandes puissances religieuses et magiques, toujours dans le but d'accroître leur influence et ils n'ont pas oublié les enseignements fournis lors de leur éducation et connaissent donc la puissance de la magie, et forment ainsi un faible nombre de mages, mais ceux-ci sont extrêmement puissants, et forment un clergé, une unité d'élite de mages. Cependant la magie n'est en rien leur priorité

Paladin
Dans leur armure d'or et d'argent, les paladins sont des chevaliers œuvrant pour la justice et la paix. Un héros pour certains, une plaie pour d'autre. Dans les deux cas les paladins sont réputés pour leur férocité et leur obstination au combat mais aussi pour leur sens de l'honneur et de leur bonté inégalé.


Leur origine remonte aux temps anciens alors que le monde n'était qu'un vaste champ de bataille entre seigneurs noirs et barbares avides de gloire. Un monde où l'argent et le pouvoir s'obtenait par le sang, où seul le profit comptait. Mais certains seigneurs se démarquaient en montrant un semblant de justice, révoltés par le comportement des autres empereurs déments. C'est dans le chaos bouillonnant et les ténèbres les plus sombres que naquît la volonté de faire le bien. Certes, ce n'était pas encore des paladins. Juste des seigneurs aux idéaux différents qui consistaient en gros à "aider les autres". Bien sûr, le chemin qu'ils s'étaient tracés était tortueux et les écarts n'étaient pas rares.


Le désir de faire "le bien" ne cessait pourtant de croître pour ces seigneurs. Toujours mieux aider, plus fort, plus juste, meilleur... Au fil des générations la volonté de devenir les symboles de la paix et de la justice a fini par faire naître les paladins qui sont à ce jour ce qu'il y a de mieux en la matière. Protecteurs de la veuve et l'orphelin, héros du bien, guerriers de la justice. Des mots souvent prononcés pour les désigner. En un rien de temps les paladins sont devenus les personnages les plus populaires aux yeux du peuple.


Le code d'honneur de ces derniers est bien connu pour être extrêmement strict. Même si celui-ci varie légèrement d'une contrée à une autre, le principe reste le même. Ils sont souvent liés à un ordre religieux, les paladins sont pour la plupart des croyants (parfois des fanatiques).
Ils sont parfois regroupés en grands ordres militaires ou alors en solitaire passant de village en village tout en aidant et protégeant les populations les plus isolées. Parfois même un petit fief à proximité d'une ville...


Malgré le fait que leur but principal soit de préserver la paix, ils n'en restent pas moins aptes à se battre. Envahir un pays où les paladins sont présents revient à s'embourber dans un conflit face à des adversaires extrêmement coriaces et obstinés. Leur simple présence est suffisante pour redonner courage et volonté aux soldats et paysans. En effet, quoi de plus pénible que de voir tout un bataillon démoralisé retrouver le courage rien qu'en sachant qu'un paladin rejoint leurs rangs?

Aider un allié en difficulté est la raison de base qui le pousse à se battre ailleurs que dans son royaume. L'armement paladin est reconnue pour son efficacité, armes sacrées, cuirasses saintes... Les outils de guerres ne manquent pas et leur qualité sont à la limite de l'art.

Cependant un paladin reste avant tout un guerrier, et celui-ci n'a jamais été formé pour diriger l'économie d'un royaume. Faire du chiffre reste un art réservé aux banquiers et aux commerçants.

Contrairement à la finance, l'agriculture est relativement développée dans ces contrées. Cette activité est surtout due à une logique simple: "Si nous voulons que le peuple ne meurt pas de faim, il faut pouvoir le nourrir" et c'est ainsi que fermiers et agriculteurs forment un pilier fondamental dans l'équilibre d'un royaume. Ainsi ces territoires font partie des rares au monde où (presque) chaque paysan mange à sa faim...

Prêtre de Hardani
Parmi les fidèles du Dieu Hardani, les Champions ne sont pas la seule force du culte. Les Prêtres et les Moines ont aussi une place privilégiée. Les premiers maîtrisent la magie de Hardani, les seconds font des recherches sur la Pierre d'Esprit et veulent étendre son pouvoir et son utilisation. Les Prêtres sont les seuls, après les Champions, à pouvoir diriger une société hardienne, car ils connaissent parfaitement ses lois et celles du monde. Les moines quand à eux sont plus reclus et ont quitté toutes volontés de pouvoir pour la prière et la recherche.

Les prêtres sont des guides spirituels, ils aident les champions dans leur formation et sont en quelque sorte les garants de la foi. Ils s'exercent tout le temps pour manipuler au mieux la Pierre d'Esprit et la magie de Hardani. Ils aident ceux qui viennent les voir. Souvent les mourants veulent que leur âme prenne le bon chemin et les prêtre les aident dans leur dernier voyage. Ils sont aussi aptes à soigner ceux qui sont frappés du sceau de la folie ou autres maladies mentales. Ils sont bons et dévoués selon les dires de tous ceux qui viennent les voir, mais en général ils ne font que ce que leur religion leur demande de faire. Les prêtres ont souvent une approche sceptique de la charité.

Les prêtres sont des hardiens le plus souvent, mais n'importe quelle personne du culte de Hardani peut devenir prêtre. Quoi qu'il en soit, les prêtres voient le monde comme les hardiens. Ils ont la même culture et état d'esprit. Ils préfèrent rester dans les temples que d'aller sur les champs de bataille. Mais ça ne les empêche pas de mener des actions parfois brutales contre ceux qui ne respectent pas la foi en Hardani. En effet, même s’ils ne prônent pas la prise des armes comme les Champions, ils peuvent toujours compter sur le peuple Hardien et ses miliciens toujours prêts au combat . Les membres du clergé de Hardani maîtrisent avec précision la puissance psychique apportée par la Pierre. En particulier grâce à l'aide des moines Ennani. Cette puissance leur permet de dévier les sorts adverses, voir même d'anticiper leur lancer et de rompre la concentration des mages. Leur esprit s'étend comme une pieuvre et peut toucher plusieurs personnes d'une même salve mentale. Cette particularité leur permet de compenser en grande partie le fait qu'ils soient peu nombreux. Leur magie particulière compense le fait qu'ils n'ont pas les sorts destructeurs des autres races. En outre, ils sont plus à même de concentrer les prières et la puissance divine pour lancer leurs sorts. Ainsi lors de grandes messes et en présence de prêtres hauts rangs il n'est pas rare de voir des guérisons s'effectuer avec une facilité déconcertante. Par contre, les sorts puissants peuvent épuiser un prêtre de faible constitution. C'est pour cela que leur entraînement est ardu : pour qu'ils puissent tenir des jours sans se reposer.


Dans leur mode de vie, les prêtres aiment bien se reposer en cultivant leur jardin et encouragent l'agriculture et le commerce national. Le commerce national Hardien est la vente de produits aux étranger arrivant sur leurs terres. De plus leur simplicité va même jusqu'au faste dénudé de leurs églises. Les Hardiens préfèrent la beauté des jeux de lumières en faisant des vitraux de toute beauté. À la place du faste de l'or et des diamants qui ne sont qu'une exposition orgueilleuse de richesses extérieures et non pas un hommage à leur dieu.

Prêtre des runes
Contrairement aux élémentalistes, aux illusionnistes ou aux sorciers, qui déchaînent éclairs, feux, et tumulte des tempêtes autour d'eux, les prêtres des runes se contentent de sortilèges moins spectaculaires. C'est sans doute la raison pour laquelle ils n'ont guère impressionnés leurs ennemis, se tenant en seconde ligne sur le champ de bataille, et aidant leurs compagnons de front à mieux tenir le choc.

La magie des runes consiste principalement à attacher un glyphe, un sortilège à retardement à un objet ou à une personne. Celui-ci ne libérera ses pouvoirs que sur demande, ou lorsque les conditions de son déclenchement sont pleinement réunies. Cette vision quasi mécaniste et déterministe de leur magie la rend très fiable et quasiment impossible à mettre en défaut. Mais il est également tout aussi vrai que leurs pouvoirs ne peuvent réaliser avec ceux des grands mages.

Contrairement aux mages également, ils ne refusent pas le combat au corps à corps. Leurs talents sont loin d'être négligeables, et leur endurance fait d'eux des adversaires respectables, particulièrement pour tenir une position. D'ailleurs, on raconte un jour que des gobelins s'aventurèrent dans la passe de Glascastel, sans savoir que celle-ci était gardée par un glyphe de protection jeté trois siècles auparavant par un sage maître nain. Bien qu'il n'y eut qu'une poignée de défenseurs, l'avalanche de pierre s'abattit sur l'armée gobeline et épargna miraculeusement les gardes nains. Mais le pouvoir des runes peut revêtir d'autres formes, comme déclencher de puissants vents contraires à l'avance d'armées ennemies, ou de raviver les forces des guerriers blessés ou épuisés par trois jours de combat. Certains porteurs de marteaux ou lanceurs de hache virent même leurs armes reforgées, polies et affutées de neuf au cœur de la mêlée au moment où elles auraient du se briser ou s'émousser. D'autres virent les éclats de leurs boucliers et de leurs armures se souder et revenir vers eux, s'ajustant à leur corps avec perfection.

En matière d'architecture et sciences des constructions, les prêtres des runes sont souvent moins doués que la plupart des autres gens de leur peuple... Cependant, ils aiment enchanter le bâtiment d'une sorte d'aura de chance afin qu'aucun désastre ne survienne, ce qui accorde généralement une bonne longévité au bâtiment.

Cependant, les prêtres des runes ont bien quelques points faibles, comme le fait qu'ils soient si peu nombreux, et que tuer un grand prêtre est un véritable désastre, étant donné la longueur de leur formation et que bien entendu, aucune ville, aucun royaume n'aimerait prêter ou monnayer les services d'un prêtre des runes.

Prince marchand

Que ce soit une caravane s’étirant sur plusieurs lieue ou une flotte marchande qui vient de relier deux rives par un pont sur le fleuve, le Prince Marchand administre une vaste entreprise toujours en mouvement basée sur le marché et le profit.

Le peuple marchand de mon seigneur est une grande famille, on parle ici d’un choix de vie ou la solidarité est à la base une condition à la survie de l’entreprise, et de même l’entreprise comme tel est l’autre condition à sa pérennité.
Bien sur cette peuplade est constamment en mouvement mais plus souvent qu’autrement elle voyage sur les grandes route commerciales rejoignant à la longue les même endroits, ceux ou les affaires sont les plus lucratives, évidemment.

Vous comprendrez que même si mon seigneur a des possessions ici et la, il n’est pas présent pour les faire fructifier. Son style de vie ne lui permet pas vraiment d’entretenir des bâtiments.

Seigneur de guerre
Le Seigneur de Guerre est un guerrier possédant un sens tactique aigü ainsi qu'un grand leadership et la capacité de sortir ses troupes de plusieurs situations précaire pour une armée.
Usant généralement des soldats, il sait en tirer parti et aura appris, au fil du temps et des campagnes, à tirer parti des ressources environnantes pour subvenir aux besoins en vivre et or de ses soldats.

Cependant, ses instincts typiquement militaire le porte généralement à négliger l'aspect plus spirituel de son armée, préférant se reposer sur un solide bataillon de fantassins plutôt que de faire confiance aveuglément à quelques mages manipulant des forces souvent imprévisibles qu'il ne comprend pas.

Seigneur de Lumière
« Un petit clapotement. Une faible lueur. Tant bien que mal vous vous redressez sur votre couchette. Il fait froid dehors et la pluie martèle les vitres du Sanctuaire. Votre mal de crâne est passé et vous regardez avec curiosité l’endroit où vous êtes. Les murs sont constitués d’écrits et de fresques retraçant les mythes et légendes de ce monde. Les vitraux s’allient l’espace d’un instant sous vos yeux pour représenter des scènes épiques. Est-ce bien cela ou simplement une illusion d’optique due à votre fatigue et le fait que vous êtes moribonde ?
Vous vous levez et observez soigneusement chaque élément de cette pièce puis une silhouette apparaît non loin de vous, encapuchonnée. La voix trahit la présence d’une femme à vos côtés. Elle vous tend une main amicale et vous hésitez malgré la chaleur… »

-ASSEZ BELINOS !!!
-Comme tu voudras Thelma mais après tout c’est tes propres lignes. Ton propre regard en arrière et ta méditation sur ta jeunesse…
-Je sais je sais… cela n’empêche pas que ça me fasse rager. Relire ces lignes n’apporte que de la tristesse et de la nostalgie…
-Comme tu voudras, bon je vais faire chauffer le thé et les gâteaux, traîne pas trop entre les étagères.


Belinos disparut vers le comptoir et Thelma s’arrêta pensive vers la fenêtre et la nuit tombante. Cela faisait presque trois heures que la mama avait quitté la poste. Elle repensait à cette jeune Typhen. Avec un lourd soupir, elle commença à déambuler entre les étagères regorgeant de savoir et d’histoire…

« Mon nom est Thelma Yrasphé. Je n’ai pas toujours été cette mama que les gens voient à la poste. Non en fait je fus autre chose avant de devenir cette dame qui gère une équipe de gnomes et gobelins du matin au soir.

Cela remonte à mon adolescence en fait. Sur les terres où je suis née et où j’ai grandi avant de voyager comme l’exigeait ma nouvelle vie. Ces terres s’appellent les gorges d’Ylanvoë. On n’y trouve rien de vraiment spécial. Ces étendues sont dominées par les forêts et les rivières. Les montagnes encerclent cette région comme pour dessiner une forteresse. Au fond c’est bien ce qu’elles sont. Imprenables, excitantes, mystérieuses. Ces terres n’ont de cesse de fasciner les gens. Soi-disant, elles regorgent de reliques aux pouvoirs ancestraux et de trésors n’attendant que d’être pillés et dilapidés. En fait c’est à partir de ces faits anodins que tout à commencer.

Nous sommes le quatrième jour du mois de mai en l’an 78 de la troisième ère de ce Monde. En cette matinée, tout semble être banal. La routine, diront les habitués. Le vent faisait bruisser les arbres, le soleil rayonnait et éclairait les pièces du haut. Je suis domestique dans la villa du Comte chargé de l’administration de la région. Je sers surtout en fait de serviteur à sa plus jeune fille qui est encore dans le foyer familial. Illiora était son nom. Pourquoi « était » ? La tragédie est arrivée ce jour là.

Une bande de pillards ? Encore ce soir, je n’en suis pas certaine. Ils semblaient vraiment savoir où aller, quoi faire. En fait je crois que le mot adapté est « planifié ». Bref les choses on était pour le moins sanglantes. La ville entière fut massacrée. Tous sans exception. Femmes, enfants et vieillards qu’importe. Aucun prisonnier. Aucune pitié. Aucun survivant. Et tout ça pour quoi ? Une statue. Une relique au pouvoir immense apparemment. Navrant vraiment. Je n’ai survécu que par mon talent à savoir me battre. Mais la jeune Illiora, elle n’a pas eu cette chance. En fait je ne sais pas. Elle n’était plus là quand je me suis réveillée et je n’ai pas trouvé son corps parmi les ruines ou les cendres encore brûlantes des maisons. Puis ils sont arrivés. Un peu comme des anges descendant sur Terre alors que l’Apocalypse se déchaine et que des cendres du Monde, naît le nouveau Jardin d’Eden.

Un phare parmi les Ténèbres. Des halos de lumière brisant les ombres et faisant naître le Crépuscule. Les chevaliers de l’Eternel. Les anges d’Armélia… Les Seigneurs de Lumière.

Ils se firent face. Eux, Titans du Bien face aux Colosses du Mal. On aurait presque dit la fin du Monde. Les Seigneurs de Lumière engagèrent le combat, feintant, combattant comme des lions. Un jeu d’escrime magnifique et quasiment parfait, le tout avec une grâce à faire pâlir les elfes. Les sortilèges pleuvaient en tout sens… le chaos. J’ai perdu connaissances à cause de mes blessures et je me suis réveillée dans un sanctuaire par la suite. »

-Thelma, c’est presque prêt. Tu préfères les gâteaux au citron ou ceux à la pêche ? Morgan m’en a laissé aussi à l’orange.
-Au citron ça ira bien, Belinos
-D’accord…


« Où en étais-je ? Ah oui le Sanctuaire. Je me suis levé avec l’étrange sensation de ne plus avoir de blessures. Puis une femme est venue me voir, et me rassurer je pense. Elle m’a expliqué que j’étais au Monastère d’Agloméria. Le fief, le bastion des Seigneur de Lumière. J’ai suivie leur enseignement en vertu du potentiel que j’avais en moi. Je me suis renseignée sur eux et j’ai beaucoup appris à leur sujet. Je ne compte pas me remémorer toutes les heures passées dans leurs bibliothèques. Résumons plutôt.

Les Seigneur de Lumière sont de différentes natures. Surprenants, colériques, curieux, malgré leur but ils regroupent bien des qualités et des défauts. La plupart du temps ce sont des gens inconnus. Des héros parfois. Mais en définitive ils sont des gens exceptionnels. Rois et Reines –guerrières, enchanteurs de légendes, Seigneurs des Dragons… La liste est longue. Par leur charisme et leur éloquence ils ont bâtis des armées entières de paladins. Ils ont formé des Empires de Sainteté en Son nom. Ils sont les véritables adversaires du Mal. Quoique je ne connaisse pas entièrement toutes les puissances qui luttent en ce bas Monde. Ils restent avant tout des guérisseurs et des érudits essayant de rassembler la connaissance et le savoir de ce Monde en une immense Bibliothèque. Ils ont exploré bien des contrées et ont également cherché à éradiquer le Mal. Ils font partis des rares personnes désintéressés par l’or et le marché. Ils vivent de méditation et de repas frugaux.

J’en viens maintenant à ce qui pour eux fait partie de la vie et de la Terre, en plus d’être la quintessence de la puissance autant spirituelle que physique. La magie. En résumant on obtient ce terme qui pour les Seigneur de Lumière signifie à la fois rien et Tout. Rien et Tout ? Parce qu’elle incarne à la fois une des deux forces les plus incompréhensibles, et en définitive la magie s’incarne en tout. Elle modèle tout.
Les Seigneur de Lumière ont passé leur existence à essayer d’en percer tous les mystères. D’en comprendre la philosophie. D’extraire chaque information possible de leur recherche. « Aucune retenue. Ne faire qu’un avec la magie quand tu l’utilises. Sens là au plus profond de toi. Laisse là envahir chaque fibre de ton être. Ne faire qu’un avec la magie quand tu l’utilises. » C’est ce qui en est ressorti. Cela s’est surtout concrétisé par un relâchement total de puissance lors des exécutions de sortilèges. Je perçois qu’il y a encore du chemin à parcourir. Si ce n’est qu’au fond, je crois que d’autres ont déjà percé les secrets de cette entité.

Pourquoi je suis devenue gérante de Poste au lieu de continuer à être Seigneur de Lumière, est une autre histoire. Mais là où ils sont aujourd’hui, je reste persuadée qu’ils courent toujours après le savoir où qu’il soit. Leur mode de vie nomade. Dormir dans les tentes. Ces chevauchées incessantes. Cela me manque un peu mais je ne reste pas éloignée pour autant du monde…

Misérë Kynalë ët sancturae ët spender tënëbrëo. Hyphosrë fërëo»

-Hoy, Thelma, le thé est servi, les gâteaux vont refroidir. Dépêche-toi.
-J’arrive vieux fou. Assure toi de mettre du zest de citron dans mon thé.
-Tsss, vieille mama, tu me prends pour qui ? Mwhahah. Allez dépêche-toi.

Alors que Thelma se détournait de la fenêtre, un groupe d’aventurier à la recherche d’une âme royale, sanctifiaient leurs armes dans le bassin de la Fontaine Sacrée. Fontaine dédiée à L’Eternel et bâtie par les Seigneurs de Lumière…

Seigneur noir
Certains diront que les seigneurs noirs ont disparus depuis bien longtemps... Certes, ils sont moins nombreux mais ils existent toujours. Les seigneurs noir font partie des plus anciennes histoire de guerriers de ce monde, ils étaient a une époque, redouté de tous, ils n'avaient pas de pitié pour les petits souverains de ce monde, ils écrasaient les nations résistantes et soumettais les populations des autres empires.

Chez eux, le combat est monnaie courante et les croisades se poursuivaient aussi loin que leur yeux permettais de voir. Leur grand pouvoir tenait dans l'art d'allier la magie aux armes, chose qui a pratiquement disparu de nos jours...


Pour obtenir le pouvoir, leur principale arme était la magie, ils étaient prêt a tout pour récupérer les précieuses reliques contenant de grands pouvoirs mystique dans le but d'écraser son prochain. De plus, les seigneurs noirs se préoccupaient plus de leur armée que de leur population et n'hésitais pas a les écraser sous les taxes afin de financer leur futur bataille.

Bien que leur puissance au combat a l'arme blanche soit a l'égal de leur maîtrise de la magie, ils ne délaissaient pas pour autant la ruse et s'alliaient souvent à un autre seigneurs afin de mieux stabiliser ses défenses et de les trahir plus tard quand il se serait ennuyer de ses "amis".

Ils peuvent parfois vivre en communauté avec d'autres seigneurs noirs pour mieux raser leur cibles, l'ambiance dans ce genre de confrérie est plutôt tendu et les trahisons courante et ici, tout le monde cherche a être le plus fort et l'origine d'une guerre peut être du a un simple désaccord entre seigneurs.

Leur cruauté a souvent été justifier lors de leur raides sur les villages et voir le sang couler a flot est un spectacle très excitant a leur yeux. Les seigneurs noirs ne sont donc pas des enfant de chœur, ils sont très axées sur le chaos et sont souvent des fanatiques religieux de divers dieux souvent barbare ou magique.

Aussi arrogant que pervers, ils ont néanmoins été souvent vaincu par des coalitions las de leur joug tyrannique.

Templiers d'Armelia
La Création des Templiers d'Armelia remonte bien loin, à l'aube de la création des "Elfes", créature de la nature, douée d'une intelligence hors du commun, d'une sagesse immense, le reflet d'une divinités d'une immense grandeur, Armelia, déesse de la Nature et de la Vie.

Les Elfes depuis des siècles entretiennent les forets et l'environnement, prenant soin de la nature ainsi qu'à ses animaux majestueux.

Mais la tranquillité des forêts, la survie des espèces ou du moins le respect de l'environnement ne furent que de courte durée... La guerre ravagea ces terres, les industries et villes ce multiplièrent et le peuple elfe fut éparpillé.

C'est ainsi que la Race Elfique adorant la nature, faisant appel a la déesse, furent rassembler pour former les Templiers d'Armelia, une confrérie ayant pour but la protection de la nature, exploitant les ressources naturelles pour repoussez les invasions chaotiques des destructeurs de l'environnement.

Voiles noires

On tente généralement de différencier les Voiles Noires, est-ce un corsaires un flibustier ou un pirate, mais selon les alliances, les guerres et les intérêts de chacun, les frontières entre tous ces acteurs est en réalité bien floues. Pour simplifier, on dira que le corsaire est un soldat, le flibustier un mercenaire et le pirate un bandit, mais tous sont avant tout des aventuriers, des Voiles Noires.

Les Voiles Noires sont généralement des seigneurs libres. Ils sont avant tout des contrebandiers et des commerçants. À ce titre, ils favorisèrent le développement local et l’on peut même les tenir pour les précurseurs du capitalisme. Une piraterie quasi légale, en tout cas aux yeux des grands empires qui les cautionnent. Un courant de pillage organisé, qui a l’aval de certaines nations qui tentent de s’implanter dans une région.

Les Voiles Noires sont donc des mercenaires, trop souvent considérés comme à peine anecdotiques dans la grande histoire que sera cette terre sans nom. Pourtant, révoltés de la première heure, totalement insoumis. Ils sont des alliées à part entière, organisés en communautés indépendantes et autogérées. S’il est possible d’affirmer que dans certains cas, ses seigneurs sont les précurseurs de l’anarchie, c’est sans aucun doute aux Voiles Noires que l’on devra faire référence !

Derrière l’image des Voiles Noires commence à se profiler le portrait de seigneurs épris d’indépendance, de justice et de liberté. Rêvant d’un monde nouveau, C’est en tout cas le nouveau cliché auquel l’amateur d’objectivité est confronté ! Il s’agit maintenant de trier ce qui ressort du fantasme ou de la réalité

Gouverneur
Le gouverneur, l’outil indispensable pour la gestion d’un empire.

Le gouverneur est une personne qui a suivi une période d’apprentissage très longue. Il a dû travailler dur à l’université de Soléandre pour pouvoir se hisser à ce niveau. Ses professeurs ont voulu faire de lui un pacifique souverain qui pourra aider financièrement Soléandre si le besoin se faisait ressentir. On lui a aussi appris à savoir négocier des traités avec ses voisins pour toujours rester en de bons termes. Il va sans dire qu’il est un bon diplomate et qu’il connaît des moyens de pression pour faire fléchir ses ennemis. On lui a aussi appris à ne pas négliger l'importance des magiciens. Il a lui-même un peu étudié cette science divinatoire peu commune.

Sa vocation a toujours été de diriger un petit état. Une fois que les maîtres de Soléandre ont bien voulu lui accorder des terres,il peut percevoir le pouvoir de l’argent e de la noblesse, si ce n'était pas déjà fait, et il devient enfin apte à aider la cité de Soléandre ou d’autres alliés correctement. C’est aussi pour cela que ses professeurs lui ont enseigné les rudiments d’une bonne gestion, pour qu’il devienne un bon allié.

Un gouverneur aime aussi emmagasiner des produits qui viennent de sa propre contré. Il en retire une certaine satisfaction personnelle à montrer qu'il a réussi à avoir tout cela, sans aucune opération illicite et à quand même garder une seigneurie stable. En général, les gouverneurs étant formés et "accrédité" à Soléandre, ceux-ci restent fidèle à la Sainte cité.

Maître Forgeron :

Les maîtres forgerons sont parfois des êtres rudes et habiles, dédiant leur vie entière au travail du métal, considérant chaque arme sorties de leurs forges comme une oeuvre d'art. Ils ont la peau rougie par la fournaise du brasier et de l'acier en fusion, les muscles rompus au maniement de l'enclume et du soufflet afin de raviver le foyer.

Fiers de leur travail au point d'être arrogants, ils gravent le blason de leurs forges sur leurs meilleurs armes, et prennent grand soin de les rendre aussi tranchantes et résistantes que possible. D'autres sont spécialisés dans les armures, et mêlent les côtes de maille aux pourpoint d'acier, tentent de fusionner les écailles de dragons au fer lui-même et tentent de trouver sans cesse de nouveaux alliages, afin d'enrichir les secrets de forge jalousement gardés de leur confrérie. Ces armes exceptionnelles sont vendues à prix d'or sur certains marchés où les connaisseurs sont à l'affût d'une lame ou d'une armure de grand nom.

Leurs services sont aussi appréciés par les architectes, afin de renforcer certains édifices de pierre par des pièces forgées. Leurs connaissances du travail du métal leurs permettent aussi d'améliorer les outils agricoles, si indispensable à la prospérité des villages dans lesquels ils s'établissent.

Mais contrairement aux enchanteurs d'armes ou aux forgerons runiques, ils ne cherchent pas à donner de propriétés magiques à leur ouvrage. Si cela arrive quelques fois, cela ne peut être du qu'aux matériaux ayant servit à faire l'alliage de l'armure ou l'arme. Contrairement à un métallurgiste, un maître forgeron n'est pas un expert en géologie. Il ne perd pas son temps en recherche de gisement de minerai ou d'un nouveau minerai. Il ne joue pas non plus avec les livres, la théorie et l'alchimie pour inviter ou trouver de nouveaux alliages.

Non, un maître forgerons s'applique tout simplement à manier avec perfection les techniques de forges et voir à les améliorer, perfectionner et si possible en inventer de nouvelles. C'est un maître de la forge qui, contrairement à un métallurgiste fabriquera une panoplie d'arme et d'outils là ou le métallurgiste passera une grande partie de son temps à la "fabrication" de l'arme parfaite.

Venus des contrées les plus désertiques du Monde sans nom, les Droegdýl vouent leur vie à l'exploration et à la conquête, ne reculant devant rien pour parvenir à leurs fins. Ils n'hésitent pas à dévaster tout sur leur passage, ne laissant que terres stériles, ruines et bains de sangs immondes.
Ces guerriers-explorateurs sont perpétuellement à la recherche des cris perçants de la bataille, d'endroits à piller, à saccager, et à déposséder de tout bien. Ne connaissant pas la Peur liée à la mort, seule celle qui mènerait à la perte de leur honneur et de leur fierté de guerrier les effraient.

Bien qu'on puisse compter sur les doigts de la main d'un vulgaire humain le nombre d'années pendant lesquelles ils ont exercé leur activité répugnante, leur renommée a grandi d'une manière exceptionnelle depuis leur propagation: Les massacres engendrant toujours plus de rumeurs sur eux et leurs terribles facettes.

Souvent représentés comme des êtres mi-loups par les rumeurs, on les dit se nourrissant de la chair des jeunes vierges et s'abreuvant du sang des nouveaux-nés.
Mais la vérité n'était pas là...
Ces rumeurs les décrivant comme des mi-loup viennent des premiers Droegdýl, qui exerçaient à partir du Royaume de Zarfek Foch'Katt, disparu suite à leur prolifération dans le monde, et qui avaient pour coutume de porter un masque en forme de tête de loup et de partir à la guerre avec des drapeaux arborant une patte de loup pour symbole.
Ces rumeurs sont encore plus accentuées par leurs différents cris de guerre, se référant souvent aux hurlements de bêtes enragées, réclamant la mort.

Nul ne peut passer outre ses instincts les plus sanguinaires. Lorsque la voie du sang a été choisie par l'être qui domine le peuple, Le peuple suivra lui aussi la voie choisie: Que celui-ci soit réduit à ne devenir que brute sans cervelle ou peuple digne des plus grands stratèges, le chemin emprunté restera toujours le même. Et celui-ci réclamera toujours son du. Le sang appelant le sang, ce peuple ne sera jamais en paix, ne le connaitra plus jamais comme il avait pu le connaitre un jour...

Au fil du temps, il oubliera ce que sont couardise et lâcheté, pour apprendre ce que sont honneur et fierté de combattre. N'accomplissant jamais rien de petit dans ce monde, seuls les grands actes de bravoures l'intéresseront.

Ils n'avaient jusqu'à maintenant jamais eu connaissance du nom que le monde leur donnait.
Ce n'est que lors de leur dernière dévastation en date d'un royaume elfe, une femme Elfe ayant été capturée lors de la conquête attira l'attention sur elle: celle-ci n'arrêtait pas de geindre un mot inconnu...

Draugdôl...Draugdôl...Draugdôl...

Un guerrier s'approcha alors d'elle et lui demanda ce qu'était un Draugdôl...

L'Elfe le montra du doigt.

Les Droegdýl étaient né.

Démonologiste

Dans les temps éloignés, les démons ont souvent cherché une classe de sorcier capable d'attaquer grâce aux sorts offensifs tout en invoquant des monstres capable d'attirer l'attention voir de tuer à leur place. Après d'intenses recherches, les grands mages infernaux réussir a ouvrir un portail assez large pour que des monstres puissent le traverser avec un coût minimum en mana tout en ayant le pouvoir de lancer des sortilèges de base. Cette classe de mages fut nommé simplement demonologiste pour le fait que les créatures appelées soient des démons.

Au fur et à mesure des guerres et autres batailles. Cette classe de sorcier fut adoptée par de nombreuses races tels que les elfes noir, vampires et mort-vivant... Le fonctionnement de la démonologie est très similaire à celui de la nécromancie aussi bien en pratique qu'en puissance. Les démonologistes peuvent être également extrêmement agressifs du fait de leur pacte avec des démons et n'hésitent pas à se jeter dans la bataille tel un barbare tout en utilisant la sorcellerie pour combattre. Cependant leur folie guerrière les rend parfois vulnérables quand il se retrouve face à plus fort qu'eux et les sortilèges demande parfois un certains temps avant d'être accomplis, ce qui laisse le temps à leur adversaire de les tuer sans encombre.

Le matériel démonologiste est similaire à celui du necromancien. Il varie du codex de sorts aux potions aux effets indéterminé et doit en conséquence apporter un certain soin à leur matériel, chose qui les rend de nos jours légèrement paranoïaque sur le rangement....

Les sorciers démons sont souvent très ambitieux, on ne pactise pas avec des démons si on n'a aucune ambition dans la vie sauf elle de cultiver son champ.

La férocité des sorciers démonologiste se caractérise aussi par leur appétit similaire à celui du démon ou de l'ogre. Effectivement, il semblerait qu'entretenir des liens avec des démons épuise le sorcier, donc plus le sorcier pactisant est faible, ou plus le démon est fort, plus le sentiment de faim, le besoin de se nourrir est grand.

Daermon, un état d'esprit :

- N'avoir d'attachement que pour la Voie à suivre.
- N'avoir pour seule amie de confiance son arme.
- Ne pas avoir de regrets.
- Rester libre de suivre sa propre voie en toutes circonstances.
- Ne point rechercher son propre confort.
- Se satisfaire des plaisirs de la nature.
- Abolir l'amour de sa vie.
- Ne pas s'attacher à croire à une quelconque entité supérieure.
- Abolir toute émotion envers autrui.
- Refuser tout luxe et tout confort.
- Chasser les monstres

Daermon, une caste à part entière :


Les Daermons sont aussi vieux que le monde sans nom, depuis la naissance des sociétés et des empires. C'est une caste... spécial de mercenaire. Éparpillé en divers clan possédant quelques repères dans des lieux souvent isolés, ils vivent souvent de la chasse aux monstres et des générations de Daermons ont permit d'amasser des connaissance incroyable en la matière. L'alchimie, la maîtrise de l'épée, la science des herbes sont des connaissance que tout Daermons se doit d'avoir.

Ces derniers, que ce soit par choix pour certains, ou que ce soit suite au destin, sont des guerriers solitaires, sans maitre, sans compagnon.

Certains, ceux qui ont fait le choix d'une telle vie, ont quitté leur maitre, déserté leur patrie, et abandonné toute attache, pris leurs armes et sont allés d'auberge en auberge, de bourgade en ville, rendant des services, éliminant des bandits de grands chemins se mettant sur leur route, volés en cherchant à voler. Autrefois de grands capitaines, des maitres d'armes enserrés dans le carcan de la domination de leur seigneur, leur roi, leur empereur, ils ont tout quitté pour suivre leur propre voie, sur la route, acquérant une renommée au travers des terres sans nom, en rendant des services, étant accueillis pour certains avec bonté parmi les villages, ou au contraire, commettant des larcins leur permettant de se nourrir et de survivre. Ainsi, ils pouvaient suivre la voie qu'ils souhaitaient suivre, sans aucune restriction, dans la plus parfaite liberté.

D'autres ont vus la mort de leurs dirigeants, la mort des nations, et se sont retrouvés dénués de roi, de maitre, d'empereur. Ceux-ci ont erré également, ne sachant où se rendre ni quoi faire, avant de découvrir que telle était leur voie, que tel était leur destin. D'autres encore sont élevés tout jeune à suivre ce chemin par un maître Daermon.

Allant et venant sans réelle attache, absolument incontrôlables car en parfaite liberté, comme des étalons sauvages, et incontrôlés, ce sont les réels maîtres des territoires sauvages.

Comtesse des Tenebres

Regroupement de mages et sorcière maléfiques, peut savent qu'elle est leur véritable but, mais certains racontent qu'il existent chez eux des dirigeant formant le conseil de la loge qui cherche à diriger le monde selon leur envie. De par les âges, ces créatures ont toujours existé. Leur façon d’être leur a permit d’obtenir les faveurs des puissants de ce monde. Leur charme et leurs manipulations en sont l’origine.

Faisant parties de la haute-société, ces aristocrates occupent souvent des postes très importants et sont donc toujours tenue au courant des nouvelles fraîches.

De naissance noble, ces Dames ont un penchant pour la magie noire et les rituels du mal. Manipulant les mâles, trop faibles pour résister à leurs hormones, les comtesses des ténèbres se servent de tous leurs atouts pour parvenir à leurs fins.

Subtiles, raffinées et pleines de ressources, ces femmes sont des adversaires à ne pas sous-estimer. On les trouve souvent dans les cours des Rois les plus manipulables mais aussi des mégalomanes, des seigneur noirs et tous seigneurs trop arrogants pour voir la vérité.

Elles aiment également beaucoup la magie et les pratiques perverses que peuvent entrainer certains rituels.

Le luxe est aussi une de leur principale occupation. Elles aiment remplir leurs coffres et aiment également dépenser cet argent pour vivre dans les milieux les plus somptueux. L’entretien de leur armée privée est également un sujet de préoccupation puisqu’elles n’aiment pas leur rivales et préfèrent éviter tout attentat contre leur personne.

Elles tissent aussi de nombreuses relations à travers les marchés et les guildes mais aussi les vastes corporations de négociants et marchants. Cela leur permet d’avoir de nombreux avantages comme se tenir au courant des rumeurs mais aussi d’obtenir des prix bas autre moyens pour elles de consacrer de l’or à leur personne.